Auteur-compositeur interprète argentine installée en France depuis 4 ans, Natalia Doco revient plus chamanique que jamais avec «El Buen Gualicho», un album autoproduit sur le label Casa Del Árbol et réalisé par Axel Krygier, génie de la scène indépendante argentine.
Après «Mucho Chino» (Belleville Music, Juin 2014), Natalia est aux commandes de son «vrai premier album... entier», enregistré entre Buenos Aires et Paris. En effet, elle y signe, ou co-signe, l'intégralité des morceaux. «El Buen Gualicho», l’incantation bienfaisante, se décline en 14 titres.
On y retrouve l’inspiration puissante du continent sud-américain, le réveil d’une féminité assertive, des mantras soignent les plaies de l’âme à coups de trombone et d’harmonies complexes. La jeune sirène ensorcelante annoncée sur le premier album a retrouvé ses jambes, et elle enfonce ses pieds nus dans la terre de ses ancêtres, y puise une énergie nouvelle, convoque la lune et les esprits, incarne le pouvoir féminin ancestral.